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L'italien GNV pourrait reprendre une partie des employés de la Comarit
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L'italien GNV pourrait reprendre une partie des employés de la Comarit
L'italien GNV pourrait reprendre une partie des employés de la Comarit
C’est officiel ! Cet été, L’italien Grandi Navi Veloci [GNV] assurera le trafic sur Sète-Tanger. Tous les efforts consentis par la Comarit n’ont pas permis de la rendre de nouveau opérationnel sur la ligne et une possible liquidation de la compagnie serait en vue.
L’italien Grandi Navi Veloci [GNV] assurera la ligne Sète-Tanger pendant probablement un an, ont annoncé ce vendredi les autorités marocaines à l’EPR Port Sud de France [qui gère le port de Sète], rapporte Midi Libre. Et ce, dans le cadre de l’appel d’offres lancé par le gouvernement chérifien début mars auquel seule GNV a répondu. Par ailleurs, une réunion a eu lieu mercredi soir à Casablanca et selon France 3, GNV « ne reprendrait que 40% de l'ensemble des 1300 employés de la Comarit ».
Déjà, la rumeur sur la reprise de la ligne par la compagnie italienne affolait les marins, cette confirmation va certainement les mettre hors d’eux. En fait, les bateaux de la Comarit vont devoir être déplacés pour faire place aux ferries de GNV. Pourtant dès la propagation de la rumeur, les marins ont fait savoir qu’ils ne voulaient pas être déplacés. Même le représentant d’ITF, Lilian Torrès exprimait sa crainte quant à leur réaction. Toutefois, une réunion devrait avoir lieu lundi prochain en présence des syndicats et sous l’égide du préfet, indique Midi libre, certainement pour calmer les hommes de mer. La Comarit de son côté a coupé les liens avec les membres de son équipage bloqués à Sète depuis janvier dernier alors que plusieurs d’entre eux n’ont pas été payés depuis novembre 2011. Pour rappel, l’association ITF a lancé en avril une nouvelle saisie sur les bateaux bloqués à Sète pour garantir le paiement des salaires des marins.
Comarit a tout essayé
Après le plan de sauvetage dressé par la commission interministérielle formée pour sortir la Comarit de sa crise, les autorités marocaines ont fait appel à Toufiq Ibrahimi, un ancien PDG de la Comanav, pour élaborer un second plan de sauvetage, révèle La Vie éco dans sa dernière édition parue ce vendredi. Il s’agissait en fait d’un montage financier qui permettrait à la Comarit de profiter de la saison estivale. Mais les banques, jugeant le projet trop risqué, n’avaient pas voulu s’engager.
Par ailleurs, en avril, la compagnie marocaine a demandé la suspension de l’appel d’offre, après qu’un de ses bateaux, le Boughaz Express reprenait le trafic sur la ligne Tarifa-Tanger. Une demande formellement déclinée par le gouvernement.
Aujourd’hui, le top management de la Comarit se tient loin des médias et il n’y a aucun moyen de savoir ce qui se trame à l’interne. Midi libre annonce une possible « liquidation » de la Comanav ferries-Comarit d’ici « la semaine prochaine ». Mais rien n’est officiel pour l’instant.
Comarit : Un plan de sauvetage réfuté par les banques
En début d’année, les autorités marocaines ont fait appel à Toufik Ibrahimi, un ancien PDG de la Comanav, pour élaborer un second plan de sauvetage après celui de la commission interministérielle, révèle La Vie éco révèle dans sa dernière édition parue ce vendredi. Cet homme est connu pour sa maitrise du secteur après avoir fait ses preuves au sein de la Comanav qu’il a dirigé d’août 2001 à juillet 2010 [artisan du redressement et de la privatisation de Comanav].
En mars dernier, Toufik Ibrahimi a ainsi créé une société spécialisée dans le transport maritime dénommée Morocco Ferries. Celle-ci devait se substituer à Comarit pendant la saison estivale, le temps de trouver une solution de plus long terme. Le tour de table de cette société réunissait, outre Ibrahimi, trois personnes physiques, dont Abdelaziz Allouch (ex-directeur central) et Adnane Filali (ex-directeur général) en plus d’une personne morale du nom de SIZ.CO et attendait l’arrivée un « industriel ». M. Ibrahimi proposait pour l’activité de Morroco Ferries un financement réparti comme suit : 100 millions de fonds propres et une levée de 200 millions auprès des banques pour constituer un capital de 300 MDH. Cette somme devait permettre de débloquer les navires, payer les arriérés de salaires aux marins. Les recettes attendues, d’un montant de 300 millions de DH, prévoyait Ibrahimi, devraient permettre de rembourser les prêts bancaires. Malgré ce montage financier qui semblait salutaire, les banques n’ont pas voulu s’engager, le jugeant trop risqué. D’autant plus que des établissements comme Attijariwafa Bank et Banque populaire se partagent aujourd’hui les plus grosses part des crédits long terme de la Comarit qui atteignent les 2 milliards de dirhams.
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C’est officiel ! Cet été, L’italien Grandi Navi Veloci [GNV] assurera le trafic sur Sète-Tanger. Tous les efforts consentis par la Comarit n’ont pas permis de la rendre de nouveau opérationnel sur la ligne et une possible liquidation de la compagnie serait en vue.
L’italien Grandi Navi Veloci [GNV] assurera la ligne Sète-Tanger pendant probablement un an, ont annoncé ce vendredi les autorités marocaines à l’EPR Port Sud de France [qui gère le port de Sète], rapporte Midi Libre. Et ce, dans le cadre de l’appel d’offres lancé par le gouvernement chérifien début mars auquel seule GNV a répondu. Par ailleurs, une réunion a eu lieu mercredi soir à Casablanca et selon France 3, GNV « ne reprendrait que 40% de l'ensemble des 1300 employés de la Comarit ».
Déjà, la rumeur sur la reprise de la ligne par la compagnie italienne affolait les marins, cette confirmation va certainement les mettre hors d’eux. En fait, les bateaux de la Comarit vont devoir être déplacés pour faire place aux ferries de GNV. Pourtant dès la propagation de la rumeur, les marins ont fait savoir qu’ils ne voulaient pas être déplacés. Même le représentant d’ITF, Lilian Torrès exprimait sa crainte quant à leur réaction. Toutefois, une réunion devrait avoir lieu lundi prochain en présence des syndicats et sous l’égide du préfet, indique Midi libre, certainement pour calmer les hommes de mer. La Comarit de son côté a coupé les liens avec les membres de son équipage bloqués à Sète depuis janvier dernier alors que plusieurs d’entre eux n’ont pas été payés depuis novembre 2011. Pour rappel, l’association ITF a lancé en avril une nouvelle saisie sur les bateaux bloqués à Sète pour garantir le paiement des salaires des marins.
Comarit a tout essayé
Après le plan de sauvetage dressé par la commission interministérielle formée pour sortir la Comarit de sa crise, les autorités marocaines ont fait appel à Toufiq Ibrahimi, un ancien PDG de la Comanav, pour élaborer un second plan de sauvetage, révèle La Vie éco dans sa dernière édition parue ce vendredi. Il s’agissait en fait d’un montage financier qui permettrait à la Comarit de profiter de la saison estivale. Mais les banques, jugeant le projet trop risqué, n’avaient pas voulu s’engager.
Par ailleurs, en avril, la compagnie marocaine a demandé la suspension de l’appel d’offre, après qu’un de ses bateaux, le Boughaz Express reprenait le trafic sur la ligne Tarifa-Tanger. Une demande formellement déclinée par le gouvernement.
Aujourd’hui, le top management de la Comarit se tient loin des médias et il n’y a aucun moyen de savoir ce qui se trame à l’interne. Midi libre annonce une possible « liquidation » de la Comanav ferries-Comarit d’ici « la semaine prochaine ». Mais rien n’est officiel pour l’instant.
Comarit : Un plan de sauvetage réfuté par les banques
En début d’année, les autorités marocaines ont fait appel à Toufik Ibrahimi, un ancien PDG de la Comanav, pour élaborer un second plan de sauvetage après celui de la commission interministérielle, révèle La Vie éco révèle dans sa dernière édition parue ce vendredi. Cet homme est connu pour sa maitrise du secteur après avoir fait ses preuves au sein de la Comanav qu’il a dirigé d’août 2001 à juillet 2010 [artisan du redressement et de la privatisation de Comanav].
En mars dernier, Toufik Ibrahimi a ainsi créé une société spécialisée dans le transport maritime dénommée Morocco Ferries. Celle-ci devait se substituer à Comarit pendant la saison estivale, le temps de trouver une solution de plus long terme. Le tour de table de cette société réunissait, outre Ibrahimi, trois personnes physiques, dont Abdelaziz Allouch (ex-directeur central) et Adnane Filali (ex-directeur général) en plus d’une personne morale du nom de SIZ.CO et attendait l’arrivée un « industriel ». M. Ibrahimi proposait pour l’activité de Morroco Ferries un financement réparti comme suit : 100 millions de fonds propres et une levée de 200 millions auprès des banques pour constituer un capital de 300 MDH. Cette somme devait permettre de débloquer les navires, payer les arriérés de salaires aux marins. Les recettes attendues, d’un montant de 300 millions de DH, prévoyait Ibrahimi, devraient permettre de rembourser les prêts bancaires. Malgré ce montage financier qui semblait salutaire, les banques n’ont pas voulu s’engager, le jugeant trop risqué. D’autant plus que des établissements comme Attijariwafa Bank et Banque populaire se partagent aujourd’hui les plus grosses part des crédits long terme de la Comarit qui atteignent les 2 milliards de dirhams.
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lyna- Modérateur
- Messages : 128
Date d'inscription : 31/01/2012
Age : 47
GNV assurera la liaison Sète-Maroc dès le 26 mai
C’est à partir du 26 mai 2012 que la compagnie maritime italienne Grandi Navi Veloci (GNC) commencera à assurer la liaison entre le port français de Sète et le Maroc, détenue auparavant par le groupe marocain Comarit-Comanav aujourd’hui en faillite. La date vient d’être annoncée lundi 7 mai, par l’agence de presse italienne ANSA.
Selon cette dernière, la société italienne n’exploitera pas seulement la ligne maritime Sète-Tanger, mais aussi celle reliant cette ville du sud de la France au port de Nador, au nord-est du Maroc et ce, contrairement à ce qu’avait initialement annoncé GNV , en février dernier. Un voyage hebdomadaire a, pour l’instant, été mis en place pour chacune des deux lignes. La fréquence de la traversée Sète-Tanger devrait, elle, passer à deux voyages par semaine, à partir de mi-juin prochain, ajoute la même source.
Pour rappel, Grandi Navi Veloci assure également deux autres liaisons maritimes vers le Maroc, à savoir Gênes-Tanger et Barcelone-Tanger.
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Selon cette dernière, la société italienne n’exploitera pas seulement la ligne maritime Sète-Tanger, mais aussi celle reliant cette ville du sud de la France au port de Nador, au nord-est du Maroc et ce, contrairement à ce qu’avait initialement annoncé GNV , en février dernier. Un voyage hebdomadaire a, pour l’instant, été mis en place pour chacune des deux lignes. La fréquence de la traversée Sète-Tanger devrait, elle, passer à deux voyages par semaine, à partir de mi-juin prochain, ajoute la même source.
Pour rappel, Grandi Navi Veloci assure également deux autres liaisons maritimes vers le Maroc, à savoir Gênes-Tanger et Barcelone-Tanger.
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lyna- Modérateur
- Messages : 128
Date d'inscription : 31/01/2012
Age : 47
Re: L'italien GNV pourrait reprendre une partie des employés de la Comarit
Salut tout le monde ! pour avoir pris le bateau avec cette compagnie je peux dire qu'elle est convenable et que c'est assez propre, seul problème c'est les retards , mais je crois que ça peux arriver c'est normal pour une compagnie maritime , avec les intempéries ou imprévus, alors je vous la conseille
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ida beil- Invité
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